« L’intéressé a bénéficié d’une liberté provisoire du juge d’instruction du tribunal militaire en date du 8 janvier 2024, à charge pour lui de répondre à la justice dès qu’il sera requis », indique une ordonnance publiée par le greffier du tribunal militaire.
Salem Mohamed Bazoum est accusé de « complot ayant pour but de porter atteinte à l’autorité ou à la sûreté de l’État ».
Depuis le 26 juillet, il était gardé au sein du palais présidentiel avec ses parents.
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