Maxime Mokom, ancien ministre du Désarmement, demande 3,1 millions de dollars de dédommagement pour lui-même et 550.000 dollars pour sa famille.
le plaignant n’a pas pu se rendre en personne à La Haye pour l’audience qui a eu lieu le 9 septembre, mais s’est adressé à la cour par visioconférence. « J’ai été jeté sur la route par la Cour pénale internationale », a déclaré l’homme de 45 ans.
Les charges à son encontre ont été abandonnées en 2023 « à la lumière d’un changement de circonstances concernant la disponibilité des témoins ».
📁 L’ancien fonctionnaire faisait l’objet d’accusation pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre qui auraient été commis en République centrafricaine. Arrêté en 2022 au Tchad, il a passé 19 mois dans une prison de la CPI.
Après sa libération, il est resté assigné à résidence surveillée pendant six semaines en attendant qu’un pays tiers l’accueille, car il risque d’être emprisonné dans son pays d’origine.
sputnik_afrique
RCA: un ex-ministre réclame une compensation à la CPI après l’abandon des charges
Maxime Mokom, ancien ministre du Désarmement, demande 3,1 millions de dollars de dédommagement pour lui-même et 550.000 dollars pour sa famille.
le plaignant n’a pas pu se rendre en personne à La Haye pour l’audience qui a eu lieu le 9 septembre, mais s’est adressé à la cour par visioconférence. « J’ai été jeté sur la route par la Cour pénale internationale », a déclaré l’homme de 45 ans.
Les charges à son encontre ont été abandonnées en 2023 « à la lumière d’un changement de circonstances concernant la disponibilité des témoins ».
📁 L’ancien fonctionnaire faisait l’objet d’accusation pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre qui auraient été commis en République centrafricaine. Arrêté en 2022 au Tchad, il a passé 19 mois dans une prison de la CPI.
Après sa libération, il est resté assigné à résidence surveillée pendant six semaines en attendant qu’un pays tiers l’accueille, car il risque d’être emprisonné dans son pays d’origine.
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