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Au nom de la Souveraineté : le Mali, tient bon !

Au nom de la Souveraineté : le Mali, tient bon !

Depuis la rectification de la Transition, le Mali adopte une posture diplomatique sans ambiguïté pour ce qui est de l’affirmation et de l’exercice de sa souveraineté sur l’ensemble de son territoire.

Il en est de même concernant  toute décision interne ou externe contraire à ses intérêts d’État.

Désormais il est clair que le Mali ne subira aucun dictat. Et pour se faire, les autorités de la Transition s’en procurent les moyens.

Pour ce qui est de la souveraineté territoriale, il y’a de cela moins d’une année, les forces de défense et de sécurité maliennes ne pouvaient se déplacer sur leur propre territoire, ni survoler leur propre espace, sans l’autorisation expresse de forces étrangères, au risque parfois de laisser leurs frères d’armes sans renforts ni soutien aérien.

Non plus, avec l’argent du contribuable malien, malgré toute notre bonne volonté, nous ne pouvions équiper notre armée nationale de moyens adéquats, pour assurer la Défense de notre territoire, de notre intégrité, des maliens et de leurs biens, du fait du dictat imposé par ces mêmes puissances étrangères dites amies.

Aujourd’hui, il en est tout autre!

Grâce à la perspicacité des autorités de la transition et à la résilience des maliens, nous nous équipons, nous nous réarmons à la volonté de notre bourse, nous choisissons nos partenaires commerciaux, sécuritaires, diplomatiques ou tout autre, au gré de nos intérêts régaliens.

Au delà, le Mali observe aujourd’hui une parfaite maîtrise de la contrôle de son espace aérien.

Le Mali détient sans équivoque, les moyens de les surveiller avec des radars qui ont fait leur preuve, attestée par les éléments mentionnés dans la lettre du ministre des affaire étrangères adressée au Conseil de sécurité de l’ONU.

L’armée malienne à également acquis les moyens d’une défense aérienne pluridisciplinaire constituée de drones, d’hélicoptères de combats et d’avions de chasse.

Il est tout aussi important de signaler que la plupart de ces acquisitions se sont effectuées pendant que le Mali était sous embargo et que les comptes du Gouvernement et du contribuable maliens étaient illégalement saisis au niveau de la BCEAO, mais le Mali avait plus d’un tour dans sa manche.

Dans la même dynamique, la synergie des services de renseignements et des forces de sécurité ont permis de mesurer l’efficacité de la rigueur des contrôles mixtes, entre aiguilleurs aériens et contrôleurs des services d’entrée sur le territoire, confirmée par l’arrestation des 49 soldats ivoiriens pour tentative de déstabilisations.

Le Mali n’a pas hésité, en possession de preuves accablantes à renvoyer l’ambassadeur de France et les médias français engagés dans une processus de manipulation et de contre vérités a l’encontre des intérêts souverains du pays.

Pendant ce temps, les soupçons et craintes d’une connivence des français avec les groupes armés terroristes, murmurés depuis toujours au sein de l’opinion malienne, refont surface avec cette fois-ci des preuves tangibles mises sur la table des Nations Unies.

Démarche restée toujours en attente de réaction officielle malgré la pertinence des preuves et le respect observé des procédures.

Cette qui fait manifestement peur à ceux qui en ont fixé les règles, a réussi à mettre en difficulté l’ensemble du monde diplomatique engagé au sein de l’Organisation des Nations Unies. Les éléments de preuves sont tant accablants, d’autant plus que le prochain pays à siéger à la présidence du Conseil de Securité a été lui-même pris en flagrant délit multiples violations (faux et usage de faux, violation de l’espace aérien d’un pays membre, activités subversives sans autorisation, associations et complicité de terroristes…)

Le malaise est si profond que Macky SALL, est obligé de venir se plier en quatre, après avoir tenté d’humilier le Mali, pour plaider en faveur de la libération négociée des 49 militaires ivoiriens en requérant avec beaucoup d’humilité « plus de facilités » de la part de Mali.

Il aurait également tenté de convaincre le Colonel Assimi de ne pas insister sur la plainte devant l’ONU.

Les autorités maliennes ouvertes au dialogue restent intraitables sur des excuses publiques, et sur la fait que la justice fera son travail.

Pour mémoire, les deux dossiers sont tous transmis à qui de droit, tant au niveau national, qu’international.

Aujourd’hui, la France au lieu de faire face à ses responsabilités, est amenée à engager des professionnels de la propagande sur les réseaux sociaux, auxquels leurs services de renseignements procurent des informations.

Ils manœuvrent ainsi désespérément tentant de manipuler l’opinion nationale à coup de scoop et de Fake-news.

Là aussi, la communication gouvernementale, appuyée par un élan patriotique des internautes maliens, tient la dragée haute au dispositif conventionnel dont les principaux protagonistes sont France 24 et Rfi pour les plus affichés, avec des complices tapis dans l’administration malienne.

La création récente de la Société d’exploration et d’exploitation des minerais avec l’intégralité du capital détenu par l’Etat malien est acte concret pour réaffirmer la souveraineté de notre pays sur ses ressources naturelles afin que nul ne se l’approprie inégalement sur le dos des maliens.

Autant de mesures qui réconfortent les maliens dans leur effort quotidien à soutenir le autorités de la transition malgré ce contexte particulièrement difficile.

BAD pour Malibook.net [*version relue]