Dans la région de Ségou, il n’est pas rare de croiser des hommes accompagnés d’une horde de chiens destinés à être revendus pour être mangés.Au Mali, pays classé 184ème sur 189 en termes d’indice de développement humain (IDH), le trafic de viande de chien est souvent un recours pour les plus pauvres. « Ce commerce prolifère en raison du chômage dans la région », confirme Issiaka Konaté, président de l’association « ARAF-Plateau dogon », ONG qui lutte pour la protection des animaux négligés.Source : Procès verbal
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