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Mission de la CEDEAO au Mali : Que pouvons-nous en retenir ?

Cette mission de la CEDEAO, conduite par Goodluck Jonathan, ancien président du Nigeria et désigné médiateur pour le Mali, intervient juste après la mise en place du dernier organe institutionnel de la transition comme le prévoient la constitution et la charte de la Transition à savoir le Conseil National après u President civilo militaire, un Gouvernement sous la conduite d’un premier ministre civile.

Ces trois préalables en place désormais, la communauté internationale, regroupée au sein du Groupe de Soutien à la Transition au Mali, sous la conduite de la CEDEAO, se penche à présent sur trois points essentiels à savoir : 

(1). La feuille de la transition : veiller au strict respect de la feuille de route, à laquelle le premier ministre Moctar Ouane a promis un plan d’action gouvernemental qui y répondra parfaitement avec un chronogramme assorti.

(2). L’inclusivité du processus : la communauté internationale souhaite que, malgré tous les efforts déjà consentis que toutes les sensibilités politique, de la société civile ou communautaire… soient impliquées au même titre dans la conduite de la transition avec un accent particulier sur la communication, l’information et la sensibilisation.

(3). Le niveau de concertation avec les différents segments de la société. C’est-à-dire décentraliser l’implication des communautés dans le processus afin que chaque région, chaque groupe communautaire ou socioprofessionnel puisse y participer.

Entre autres il aura été énormément question des personnalités détenues ou recherchées par la justice pour raisons de suspicion de complot contre la transition.

A cela le gouvernement par la voix du premier minsitre rassure que le dossier est dans les mains de la justice et que rien n’entravera les libertés individuelles, collectives ainsi que les droits et dans le strict respect de la loi.

MalibookNews