Nouvelles RĂ©centes

Top Infos
  • TV5 Monde suspendue pour 3 mois pour manquements professionnels.
  • La Chine se montre favorable Ă  l'idĂ©e d'installer des usines de transformation de produits agricoles au Burkina
  • Nigeria: des milliers d'habitants ont fui la capitale de l'État de Borno face aux inondations dĂ©vastatrices
  • Nigeria: au moins 48 morts dans l'explosion d'un camion-citerne, rapporte The Nation

RUPTURE DES ACCORDS COLONIAUX AVEC LA FRANCE đŸ‡«đŸ‡·

RUPTURE DES ACCORDS COLONIAUX AVEC LA FRANCE đŸ‡«đŸ‡·

AprĂšs « l’indĂ©pendance » 14 pays francophones ont signĂ© 11 accords avec la France je vais vous citer ces 11 accords maintenant

ACCORD n⁰1: LA DETTE COLONIALE POUR REMBOURSEMENT DES BÉNÉFICES DE LA COLONISATION.

C’est-Ă -dire les États nouvellement indĂ©pendants doivent rembourser le coĂ»t des infrastructures construites par la France pendant la colonisation.

Nous cherchons toujours le dĂ©tail des coĂ»ts, l’évaluation des bĂ©nĂ©fices et des conditions de paiements imposĂ©s par la France aux pays africains.

ACCORD n⁰ 2 : LA CONFISCATION AUTOMATIQUE DES RÉSERVES FINANCIÈRES NATIONALES.

C’est-Ă -dire les pays africains doivent dĂ©poser leurs rĂ©serves financiĂšres auprĂšs de la Banque de France. Ainsi, la France « garde » les rĂ©serves financiĂšres de quatorze pays africains depuis 1961 : le BĂ©nin, le Burkina Faso, la GuinĂ©e Bissau, la CĂŽte d’Ivoire, le Mali, le Niger, le SĂ©nĂ©gal, le Togo, le Cameroun, la RĂ©publique centrafricaine, le Tchad, le Congo-Brazzaville, la GuinĂ©e Équatoriale et le Gabon.

Ainsi, la gouvernance des politiques monĂ©taires reste asynchrone et incomplĂšte du fait qu’elles sont pilotĂ©es directement par le gouvernement français, sans aucun lien avec les autoritĂ©s financiĂšres des pays tels que la CEMAC ou la CEDEAO.

Ainsi, du fait des conditions qui lient les banques des zones Ă©conomiques et financiĂšres, elles sont obligĂ©es de garder 65 % de leurs rĂ©serves de change dans un compte d’opĂ©rations tenu par le TrĂ©sor français, ainsi que 20 % supplĂ©mentaire afin de couvrir « les risques financiers ».

De plus, les banques des zones CFA imposent une limite de crĂ©dit Ă  chaque pays membre Ă©quivalent Ă  20 % des recettes d’état de l’annĂ©e N-1 ! Bien que le BEAC ou la BCEAO ont des possibilitĂ©s de retrait supĂ©rieur auprĂšs du TrĂ©sor français, ces retraits doivent faire l’objet de l’accord du TrĂ©sor français.

La dĂ©cision finale revient donc au TrĂ©sor français qui a lui-mĂȘme investi les rĂ©serves des pays africains sur la place boursiĂšre parisienne.

En d’autres mots, 80 % des rĂ©serves financiĂšres africaines, sont dĂ©posĂ©es sur un compte opĂ©ration contrĂŽlĂ©e par l’administration française.

Les deux banques de la zone CFA sont africaines de par leurs noms, mais ne dĂ©cident aucune des politiques monĂ©taires par elle-mĂȘme.

Pire, les pays eux-mĂȘmes ne savent mĂȘme pas quelle est la part de rĂ©serves financiĂšres qui leur appartient en groupe ou individuellement en tant que pays, mais dĂ©tenus par l’administration du TrĂ©sor français.

ACCORD n⁰3 : LE DROIT DE PREMIER REFUS SUR TOUTE RESSOURCE BRUTE OU NATURELLE DÉCOUVERTE DANS LE PAYS.

C’est-Ă -dire la France a le premier droit d’achat des ressources naturelles de la terre de ses ex-colonies. Ce n’est qu’aprĂšs que la France ait dit: « Je ne suis pas intĂ©ressĂ© », que les pays africains sont autorisĂ©s Ă  chercher d’autres partenaires.

ACCORD n⁰4 : PRIORITÉ AUX INTÉRÊTS ET AUX ENTREPRISES FRANÇAISES DANS LES MARCHÉS PUBLICS ET APPELS D’OFFRES PUBLICS.

Dans l’attribution des marchĂ©s publics, les entreprises françaises ont la prioritĂ© sur l’attribution. MĂȘme si les pays africains peuvent obtenir un meilleur rapport qualitĂ©-prix ailleurs.

En consĂ©quence, dans la plupart des ex-colonies françaises, tous les leviers Ă©conomiques des pays sont entre les mains des expatriĂ©s français. En CĂŽte d’Ivoire, par exemple, les entreprises françaises possĂšdent et contrĂŽlent tous les grands services publics dont l’eau, Ă©lectricitĂ©, tĂ©lĂ©phone, transports, ports et les grandes banques. C’est la mĂȘme chose dans le commerce, la construction et l’agriculture.

ACCORD n⁰5 : DROIT EXCLUSIF DE FOURNIR DES ÉQUIPEMENTS MILITAIRES ET DE FORMER LES OFFICIERS MILITAIRES DES COLONIES.

Grùce à un systÚme sophistiqué de bourses, de subventions, et les « accords de défense » attachés au pacte colonial, les Africains doivent envoyer leurs officiers supérieurs en formation en France.

ACCORD n⁰6 : LE DROIT POUR LA FRANCE DE DÉPLOYER DES TROUPES ET D’INTERVENIR MILITAIREMENT DANS LE PAYS POUR DÉFENDRE SES INTÉRÊTS.

En vertu de ce qu’on appelle « les accords de dĂ©fense » attachĂ©s au pacte colonial, la France a le droit d’intervenir militairement dans les pays africains, et aussi de stationner des troupes en permanence dans les bases et installations militaires, entiĂšrement gĂ©rĂ©es par les Français.

ACCORD n⁰7 : L’OBLIGATION DE FAIRE DU FRANÇAIS LA LANGUE OFFICIELLE DU PAYS ET LA LANGUE POUR L’ÉDUCATION.

Une organisation de la langue française et de la diffusion de la culture française a mĂȘme Ă©tĂ© crĂ©Ă©e. Elle s’appelle la « Francophonie » et possĂšde plusieurs organisations satellites. Ces organisations sont affiliĂ©es et contrĂŽlĂ©es par le ministre français des Affaires Ă©trangĂšres.

ACCORD n⁰8 : L’OBLIGATION D’UTILISER LE FRANC CFA (FRANC DES COLONIES FRANÇAISES D’AFRIQUE).

Bien que ce systĂšme ne soit pas partagĂ© par l’Union europĂ©enne, les colonies françaises sont contraintes Ă  utiliser exclusivement le FCFA.

ACCORD n⁰9 : L’OBLIGATION D’ENVOYER EN FRANCE, UN BILAN ANNUEL ET UN RAPPORT D’ÉTAT DES RÉSERVES
PAS DE RAPPORT, PAS D’ARGENT.

C’est-Ă -dire le directeur des banques centrales des ex-colonies prĂ©sente ledit rapport lors des rĂ©unions bisannuelles des ministres des Finances sur les ex-colonies. Ce rapport est ensuite compilĂ© par la Banque de France et le TrĂ©sor français.

ACCORD n⁰10 : RENONCER À TOUTE ALLIANCE MILITAIRE AVEC D’AUTRES PAYS, SAUF AUTORISATION DE LA FRANCE.

La plupart de ces pays ont seulement des alliances militaires avec leurs ex-colonisateurs simplement par le fait que la France leur interdisait toute autre alliance militaire.

ACCORD n⁰11 : L’OBLIGATION DE S’ALLIER AVEC LA FRANCE EN CAS DE GUERRE OU DE CRISE MONDIALE.

Plus d’un million de soldats africains combattus pour la dĂ©faite du nazisme et du fascisme au cours de la Seconde. Fin

Ces onze (11) accords sont toujours en vigueur entre la France et les 14 pays de la zone CFA, et aucun mĂ©dia Français ni leur soi-disant spĂ©cialistes de L’Afrique ne vous parlerez sur ces onze accords qui sont toujours en vigueur entre la France et les 14 pays de la zone CFA, et pourtant ces accords existent bel et bien entre la France et les zone CFA. C’est pourquoi quand on dit que L’Afrique n’est pas indĂ©pendant, c’est Ă  cause de ces onze (11) accords lĂ  qui fait que L’Afrique en tout cas zone CFA ne sont pas du tout indĂ©pendants.

Ce qui m’intĂ©resse aujourd’hui parmi ces onze accords, c’est le dixiĂšme (N⁰ 10) qui dit que les 14 pays de la zone CFA Ă  travers l’accord, ne sont pas autorisĂ©s Ă  avoir une alliance militaire avec d’autres pays ne sont pas non plus autorisĂ©s Ă  acheter matĂ©riels militaires dans un autre sans autorisation de la France. Et c’est Ă  cause de cela que le Mali est bloquĂ© aujourd’hui, parce que comme j’ai dit au dĂ©but les militaires qui ont prit le pouvoir sont trĂšs proches de la Russie que la France, ils voulaient une coopĂ©ration militaire entre la Russie et le Mali c’Ă©tait leurs objectifs depuis le dĂ©but, mais Ă  cause de la pression internationale, ils ont cĂ©dĂ© mais ils travaillaient toujours en bas sur ce projet de coopĂ©ration avec la Russie, mais comme le prĂ©sident de la transition et son premiĂšre ministre sont des marionnettes de la France, ce sont eux qui ont informĂ©s la France, en disant Ă  Macron ce que les militaires entrain de dĂ©cider, donc Macron a demandĂ© au prĂ©sident de la transition de former un nouveau gouvernement en excluant les militaires c’est-Ă -dire un gouvernement sans les militaires et c’est cela qui a mit le feu aux poudres donc les militaires ce sont opposĂ©s Ă  ça voilĂ  les problĂšmes du Mali mais aussi de L’Afrique puisque en tant que nos hommes politiques respecteront ces 11 accords, les 14 pays de la zone CFA ne connaĂźtront ni la paix sociale, ni les dĂ©veloppements il y aura toujours des problĂšmes il est temps que la France cesse son ingĂ©rence dans les affaires africaines.

Emmanuel Macron j’espĂšre que vous avez bien lu et compris Nous ne voulons + de la FRANCE đŸ‡«đŸ‡· en AFRIQUE

đŸ‡©đŸ‡żđŸ‡§đŸ‡Ż đŸ‡§đŸ‡« 🇧🇼 🇹đŸ‡Č 🇰đŸ‡Č 🇹🇼 đŸ‡©đŸ‡Ż 🇬🇩 🇬🇳 đŸ‡ŹđŸ‡¶ đŸ‡Č🇬 đŸ‡ČđŸ‡±
🇳đŸ‡Ș đŸ‡šđŸ‡« đŸ‡šđŸ‡© 🇹🇬 🇾🇳 🇾🇹 đŸ‡čđŸ‡© đŸ‡č🇬 đŸ‡·đŸ‡Œ đŸ‡Č🇩 đŸ‡ČđŸ‡· đŸ‡č🇳