Le clan Bazoum, très proche de l’Elysée et des services français, était loin de se douter que leur régime allait tomber le vingt-six juillet.
La surprise fut grande, car personne ne s’attendait ne s’attendait à ce que le régime de la « continuité » prôné depuis Bazoum, soit interrompu par sa propre « Garde prétorienne » chargé pourtant d’assurer sa sécurité, le Chef de la sécurité présidentielle occupant se poste depuis treize ans. Cependant, depuis l’installation des nouvelles autorités CNSP, les militaires commencent à occuper des postes dans l’administration comme ce fût le cas des Gouverneurs militaires nommés à la tête des huits région du Niger, pour raison de contexte sécuritaire.
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Jusque là force est de reconnaître que certains dignitaires de l’ancien régime déchu refusent d’admettre le coup d’État. Nous citerons entre autres, M. Hassoumi Massaoudou, entré en clandestinité ou encore Mme. Aichatou Boulama qui refuse de se soumettre aux nouvelles autorités en déclarant toujours occuper son poste d’ambassadrice en France.
Ainsi certaines caciques du régime déchu qui rêveraient toujours à la réhabilitation de Mohamed Bazoum allant jusqu’à solliciter une intervention militaires de la CEDEAO contre le Niger.
Niger #putsch #Bazoum
Source : Ali CISSÉ Ibrahim, correspondant au Niger pour Malibook.net
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