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ÉDITO : À propos de la plainte du Mali devant le Conseil de Sécurité de l’ONU.

ÉDITO : À propos de la plainte du Mali devant le Conseil de Sécurité de l’ONU.

Au regard des propos tenus par certains dirigeants occidentaux à l’endroit du Mali, notre diplomatie a suffisamment clarifier la position malienne et nos principes de bonne collaboration avec tous nos partenaires.

Comme l’a si bien dit le ministre Abdoulaye DIOP à Lomé, « les amis de nos partenaires ne sont pas nécessairement nos amis… Et les ennemies de nid partenaires et de nos voisins ne sont pas forcément nos ennemis ».

Une chose est sure, nos amis doivent montrer patte blanche, et les peuples d’Afrique les interpellent.

Cette plainte a besoin de soutiens politiques et diplomatiques sincères, pouvant en découler parfois de ce type de soutien populaire.

Les partenaires, pays amis et alliés du Mali sont interpellés quant à leur silence au sujet de la plainte portée par le Mali contre la France devant le Conseil de sécurité de l’ONU !

L’ensemble du corps diplomatique et consulaire accrédité au Mali est interpellé !

L’opinion nationale et panafricaine exprime déjà sa volonté et sa détermination à soutenir cette procédure jusqu’au bout, car tous sont conscients des enjeux pour une Afrique libérée du joug du néocolonialisme.

Ce soutien spontané de ces peuples d’Afrique qui se mobilisent de plus en plus autour de la transition malienne dans sa lutte de souveraineté, sera certainement le dernier « rempart » contre les ennemis « de dedans ou de dehors » pour « l’Afrique et pour Toi Mali ».

En attendant le Premier ministre par intérim, dans la continuité du Dr Choguel Kokalla MAÏGA, s’engage à tout mettre en œuvre pour faire valoir les preuves en la possession de la partie malienne.

À défaut, peut-être faille t’il mettre cela sur la place publique, aux yeux de l’opinion nationale et internationale, les preuves matérielles irréfutables.

Ce que le Mali, en toute élégance, a voulu éviter comme ce fût le cas avec les 49 soldats dont trois dames ont été libérées pour raison « humanitaire ».