Au Sénégal, alors que la justice a ordonné la réintégration de l’opposant sur les listes électorales, ses avocats dénoncent « une prise en otage du peuple » orchestrée par l’État.
Le représentant de l’opposant sénégalais emprisonné Ousmane Sonko a de nouveau été empêché de récupérer les documents nécessaires à sa candidature à la présidentielle de 2024, et ce malgré le fait que la justice a ordonné sa réintégration sur les listes électorales.
Le temps est compté pour l’opposant, qui doit recueillir ses parrainages et déposer sa candidature à la présidentielle du 25 février, dont il serait l’un des favoris, d’ici le 26 décembre.
Jeune Afrique
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